La Côte-Nord est immense, sauvage et fascinante. Elle s’étend de Tadoussac à Blanc-Sablon, et du littoral vers le Nord, où la forêt boréale cède place à la taïga. En mer comme de la rive, on peut y observer jusqu’à 13 espèces de baleines! La démesure est partout, que l’on pense au fjord du Saguenay, aux canyons de l’île d’Anticosti ou aux mystérieux monolithes de l’archipel de Mingan.
Différentes activités d’hiver permettent de découvrir l’étendue du territoire que ce soit en parcourant les multiples sentiers de motoneige ou encore en empruntant les sentiers de raquette et de ski de fond. La pêche blanche, l’observation de la faune, le traineau à chiens font également partie des nombreuses activités offertes pour apprivoiser cette terre sauvage.
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Quand on me parle de la Minganie et de la Basse-Côte-Nord, je ne peux m’empêcher de penser à des paysages à couper le souffle et à la nature à l’état brut. Ces régions sont beaucoup moins connues que d’autres au Québec, mais elles sont si différentes du reste du Québec que le voyage en vaut réellement le coup!
Saviez-vous qu’en empruntant la route 138 pour vous rendre sur la Côte-Nord, vous aurez nécessairement à prendre un traversier? Eh oui, puisque la route provinciale est scindée en deux par le majestueux fjord du Saguenay.
Chaque auberge est généralement unique et souvent à l’image des gens qui y travaillent ou de l’endroit où elle se trouve. En voici trois qui se distinguent.
Je prépare actuellement mon voyage à Sept-Îles, et je suis emballée à l’idée de visiter ce coin de la Côte-Nord ‑ Duplessis. Ce qui m’impressionne déjà de la région, c’est la démesure dont on me parle avec ses immenses forêts, ses nombreuses rivières et la mer qui s’étend à perte de vue.
Louis Gallienne a fait son premier voyage en hélicoptère à l’âge de 17 jours pour se rendre sur l’île Corossol, dans l’archipel des Sept-Îles, où son père était gardien du phare. Il y a grandi en...